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Première mesure : Oui aux délocalisations !

Si nous voulons encore sauver ce qu'il est possible de l'être des restes de notre économie il faut accélérer les délocalisations... OUI j'affirme que c'est la seule voie qu'il nous reste pour relancer la machine !

Je parle bien sûr de délocaliser...les conseils d'administrationet les postes de direction de nos grands groupes du COUAC quarante, c'est marrant d'ailleurs comme ce nombre de 40 s'applique bien aux voleurs comme dans Ali Baba.

Maintenons les emplois en France pour relancer la consommation et faire d'énormes économies sur le TGV de vie ( au niveau actuel on ne peut plus parler de « train » basique) des dirigeants qui se goinfrent jusqu'à la nausée en cassant des emplois, planquent leurs économies hors de nos frontières et pensent qu'amasser des fortunes les rendra immortels. 

La deuxième mesure code phare de mon programme est de fermer l'ENA.

Ce n'est pas parce que l'on a fait un brin, un doigt, une main ou un bras de cour à une jeune condisciple de cette école que l'on se doit 30 ans plus tard et arrivé au pouvoir de lui en savoir gré en la nommant ministre ou secrétaire des tas...

De même le fait de vous avoir soufflé la réponse éliminatoire à l'oral final de cette institution ( quel est le prix d'une baguette de pain ? Non mais où vont ils chercher de telles colles …) ne vous oblige en aucun cas à le nommer à la tête d'EDAS, TATOL ELF ou autres fleurons de notre industrie.

Remarquez être parachuté lorsqu'on est fonctionnaire de haut vol... Donnez à vol le sens que vous voulez...

Je crois fermement à la différence entre instruction et intelligence, et une tête bien pleine de sornettes ne vaudrajamais une logique, un sens des affaires, un côté madré paysan , qui ont amené les créateurs d'Andros et de Sodexo à être les « numéros 1 mondiaux » dans leurs spécialités sans avoir jamais porté le bonnet d'ENA.